grandeur qui détermine la puissance géométrique maximale de rayonnement transmis, reçu ou émis selon une configuration optique passive monopasse Note 1 à l'article: Définissant un rayon comme l'échange de rayonnements confinés entre deux éléments de surface sous-tendus dA et dA′ à une distance l, avec les vecteurs normaux et et les angles d'orientation θ et θ′ par rapport à un axe optique commun, l'étendue géométrique est égale à l'action de tous les rayons possibles entre les deux surfaces A et A′. Ce phénomène est exprimé par l'intégrale étendue au produit de tous les éléments de surface projetée dA cos θ et dA′ cos θ ′ pondérés par la distance au carré afin de tenir compte de la dimension apparente des surfaces correspondantes:
avec
où dΩ et dΩ′ sont les éléments des angles solides qui définissent l'étendue angulaire de dA′ à partir de dA et de dA à partir de dA′ respectivement. Note 2 à l'article: "Monopasse" signifie que le terme s'applique uniquement au transfert de rayonnement dans une direction définie unique. Il ne s'applique pas à des dispositifs tels que les cavités Fabry–Pérot. Note 3 à l'article: Voir aussi "étendue optique". Note 4 à l'article: L'étendue géométrique est exprimée en mètre carré multipliée par le stéradian (m2·sr). Note 5 à l'article: Cet article était numéroté 845-01-33 dans l'IEC 60050-845:1987. |